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Aaron Brady
Aaron Brady


Ange de la patience
Aaron Brady

Nom céleste: Geriel.
Fonction: Aucune.
Profession: Animateur radio.
Date de naissance: Inconnue.
Lieu de naissance: Le Paradis.
Nationalité: Américaine.
Âge réel: Ange originel.
Âge Apparent: 42 ans.
Taille: 1m80.
Orientation Sexuelle: Hétérosexuel.
Préférence Sexuelle: Vous ne le saurez pas.
Signe(s) particulier(s): Possède plusieurs tatouages.
Avatar: Tom Hardy
Tutelle:
 
La patience adoucit tout mal sans remède.”

La patience est confiance. Elle s'exprime et se nourrit dans la prière, offre une perspective d'éternité. La patience, c'est placer sa confiance dans la parole de Dieu, dans les promesses du Christ. C'est prendre appui, non sur ses forces propres, mais sur le secours de la grâce du Saint Esprit. C'est résister à l'épreuve et au mal, c'est garder confiance en l'avenir. C’est endurer, souffrir parfois, mais ne pas renoncer. C'est adhérer pleinement, profondément à Dieu en tant que fin suprême.

La foi est constamment mise à l'épreuve, tiraillée, malmenée. Le monde peut être cruel, ô terriblement cruel et l'horizon sembler bien sombre. L'attente peut peser, les épaules commencer à ployer. Pourquoi continuer à endurer encore et encore ? Écoutez ma parole. Dieu vous porte dans son cœur, soyez rassurés. Priez, livrez-vous. Laissez-moi connaître vos doutes, les apaiser, vous redonner l'espoir d'un bel avenir. Sachez endurer,  Dieu peut avoir diverses raison de retarder l'accomplissement de ses promesses, mais la patience dans ces cas-là va de paire avec la foi.


Qualités:
Altruiste • Apaisant • Attentionné • Honnête • Loyal • Patient • Protecteur  

Défauts:
Impulsif • Indépendant • Rétif • Solitaire •  Trop franc

Caractère:

Je suis un ange et ce n’est pas une façon de parler. Je porte la parole de Dieu, veille sur sa création. Ce n’est pas une tâche facile, certainement de moins en moins alors que les années passent. Le doute s’installe, les repères disparaissent. La foi recule aussi. Et ce n’est pas forcément de la faute des démons. Les années passent mais le monde ne s’améliore pas, les luttes s’enchainent, mais le fruit tarde à murir, s’il n’est pas fauché avant. J’ai conscience que ma mission est sacrée, que l’homme à besoin de moi. J’en supporte le poids chaque jour, mais je suis fatigué. Ereinté par tous ces espoirs qui ne seront jamais atteint. Par cette foi, qui dans l’attente se morcelle, disparait. Est-ce que je crois encore en l’homme ? Oui bien sûr. Profondément, ardemment. Je suis juste las. Ce qui explique certainement pourquoi je suis plus distant et solitaire qu’avant. Je me promène sou-vent, erre ici et là, profite de la beauté toute forestière du Maine. C’est un endroit magnifique, merveilleux.  

Je suis d’un naturel doux, calme, certains disent que ma présence est apaisante. Je veux bien le croire. Je suis attentif, attentionné. J'ai un visage très expressif aussi, souriant. Je suis franc, parfois trop, mais je suis vrai et c'est tout ce qui compte n'est-ce pas? J’écoute beaucoup, je parle sûre-ment moins. La radio est mon terrain de jeu, je suis un fervent amateur de musique, c’est certainement ma seule addiction. Je ne bois pas, ne fume pas, me drogue encore moins. Non. Je passe mes soirées à la radio, à vous faire écouter des sons que j’aime, rock, indépendant ou plus classique. Je parle aussi, bien sûr. Ecoute les questions de mes auditeurs. Ce n’est qu’une station locale mais cela me suffit amplement. Je ne fais pas ça pour la gloire, ni pour l’argent. J’ai un vieux pick-up, ma maison une caravane airstream perdue dans un bosquet à la sortie de la ville.    

Mes frères préféreraient que je vive à Waterville, mais je tiens à mon indépendance, rétif à toutes leurs tentatives. Je sais me montrer têtu sur les sujets qui me tiennent à cœur. C’est l’une de mes forces et l’un de mes défauts. Comme me dévoiler impulsif, je tire ma force des sentiments qui m’habitent, ceux sont eux qui me guident. Je me tiens en retrait des miens, non pas pour faire scis-sion mais parce que je suis tout simplement bien dans mon coin. Mais ça ne veut pas dire non plus, que je n’attends pas quelqu’un. Je ne suis lié à personne, c’est peut-être ça aussi qui me pèse. Mais, ange de la patience, je ne peux qu’avoir confiance en l’avenir, l’attendre.


Histoire:

Je me souviens encore de ce premier jour, allongé dans l’herbe mais yeux se sont enfin ouverts et m’ont révélé le monde tel qu’il était. Magnifique. Le ciel d’un bleu cérulé, moucheté ici et là de vastes nuages qui d’un blanc cotonneux erraient paisiblement. Le soleil était encore bas, mais déjà éclatant, inondant la vaste colline de ses rayons chauds et brillants. Le monde était Eden, jardin luxuriant aux herbes hautes et prolifique. Dieu avait dit « Que la terre verdisse de verdure, d'herbes portant semences et d'arbres donnant des fruits. » Il en était ainsi, il ne pouvait en être autrement. Mais ce n’était pas l’Eden mais la terre des hommes et bien que magnifique, elle était meurtrie, abimée par cette hargne qui les habitait. Et alors que mon regard se perdait sur la beauté du ciel, une main me saisissait l’épaule, la pressant fortement avant de la bouger. Arraché à ma contemplation, je tournais la tête pour le regarder. L’homme arc-bouté, ouvrait la bouche en des cris encore inaudibles. Il était jeune, effrayé. La tête rentrée dans les épaules, il s’abaissait parfois comme pour disparaître. Je me redressais alors, m’asseyant tant bien que mal, sonné. Enfonçant mes doigts dans le sol, je tentais de m’accrocher à la terre, d’y puiser la force de me relever, de me dresser pour contempler. Mais il m’en empêchait, attrapant ma tunique pour me maintenir au sol avant de me secouer plus vivement. Alors j’entendis les grondements féroces, sourds et profonds, qui tombant du ciel ravageaient la terre. J’entendis les crépitements qui incessants, se répondaient sur toute la colline. Mais j’entendis surtout les râles de souffrance, les cris désespérés de ces hommes qui voyaient leur vie leur échapper. Non, je n’étais pas en Eden et si cet endroit était un paradis de verdure et de calme, en cette journée effroyable terre et ciel étaient déchirés par les tourments de l’humanité. Je n’avais ni choisi le corps, ni choisi le lieu, mais dans la clarté de cette matinée, je savais quel était mon rôle, celui que Père m’avait confié. Alors mes doigts ont relâché la terre, récupéré le fusil Garand et je me suis dressé sur mes pieds. J’ai contemplé l’étendue qui me séparait de la butte, j’ai entraperçu au milieu des hautes herbes les casques des autres soldats, alors j’ai serré mon arme et j’ai commencé à avancer. Mes pas se sont transformés, je ne marchais plus, je courrais, fendant cette verdure qui pour certains deviendrait linceul. J’ai pressé la gâchette et tiré, d’abord dans cet horizon incertain et au fil de ma course, j’ai commencé à viser. Sans colère, sans la moindre hargne.

A notre redescente, le campement s’était transformé, déployé en une série de tentes qui abritaient les blessés, tandis que plus loin s’entassaient les corps sans vie. Prendre la colline nous avait demandé du temps, il nous en fallut bien plus pour retrouver et ramener tous les corps de nos camarades. Mais la bataille était à ce prix. Et nous avons continué dès le lendemain, s’engouffrant dans les jungles à la recherche de campements. D’autres combats, d’autres tourments. Puis nous avons abandonné l’île, pour une nouvelle, successions de plages, de prairies et de jungles.

Et entre chaque, l’attente interminable, passée dans les coques de navires où nous étions plus que de simples passagers. Alors nous attendions dans cet endroit clos, tuant le temps de différentes façons, écrivant ou relisant des lettres, jouant aux cartes et aux dés, s’essayant à la musique pour d’autres. Nous parlions beaucoup aussi, ils me racontaient leurs espoirs et leurs craintes, la femme qui les attendait, la famille qu’ils avaient abandonnée. Ils se livraient les uns aux autres. Partager était ce qui leur permettait de tenir. Le pire était sûrement quand la bataille faisait rage, que les canons de 406 mm rugissaient tandis que les avions filaient dans le ciel. Nous nous étions enfermés, sans rien pouvoir faire d’autre que de prier et espérer. Les débarquements eux se passaient toujours de la même façon, mêlés pour les hommes qui m’accompagnaient d’appréhension et de crainte. Alors je leur ai parlé, réconforté, harangué. J’ai trouvé les mots pour apaiser leurs maux, gonflant les cœurs d’espoir. Celui de voir une nouvelle aube se lever, de pouvoir rentrer. J’ai joué mon rôle, Ange l’espérance perdu en plein cœur de la bataille. Que pouvais-je faire d’autre, si ce n’est les aider à supporter l’apprêté de cette période. Mais je sais aussi que je les ai entrainés à la mort, que je les ai poussés au sacrifice. Était-ce juste ? Je ne le sais toujours pas. Mais j’ai continué, jour après jour, semaine après semaine jusqu’à ce qu’elles se transforment en années. Comme les autres j’ai fait mon temps, sûrement plus que de nécessaire. Mais je ne pouvais me défausser car tel était mon devoir. Jusqu’à ce que la guerre se termine, que nous puissions rentrer.

Au volant d’un pick-up, je partais à la découverte de ce pays qui était désormais le mien. J’avais ce besoin irrépressible de voir et de comprendre les Etats-Unis, de rencontrer et de connaitre ses habitants. Bien sûr, j’avais de nombreuses interrogations, sur l’homme, tout autant que sur ma propre personne. Devenu pèlerin, j’errai sur les routes, traversant les grandes étendues et les nombreuses villes sans feux rouges ni panneaux d’affichages. Des villes qui se ressemblaient toutes, aux rues droites et lisses et aux maisons de briques et de bardeaux. Des villes avec leur épicerie générale et où l’on trouvait un peu de tout, légumes, vêtements, magazines et bien d’autres choses encore mais aussi selon la taille de la bourgade quelques autres échoppes. Parfois même, un endroit où dormir. Des villes comme il en existait tant, où les gens vivaient d’une vie simple et honnête. Bien sûr, le péché était là, d’envie et de gourmandise, de jalousie parfois. Mais tout cela était le propre de l’homme, son imperfection. J’aimais cette époque, j’aimais ces gens. Je n’étais pas dupe pour autant, l’avidité gangrénait déjà une partie de la société, les grands et les puissants, qui ne se privaient pas de payer une misère des travailleurs qui laborieux, ne rechignaient pas à la tâche, ni aux efforts consentis. Bien sûr, la guerre m’avait elle aussi laissé un goût désagréable et si elle m’avait touché, elle avait aussi imperceptiblement changé les Etats-Unis, marquant les esprits et les cœurs. Combien de jeunes gens n’étaient pas revenus d’Europe ou du Pacifique ? Combien étaient revenus malmenés par les combats, le corps ou l’esprit brisé. Et même si les gens tentaient de faire au mieux, il y avait pourtant une fragilité, une plaie qui ne voulait ou ne pouvait cicatriser. Bien des espérances s’étaient révélées vaines. Pouvait-on les blâmer de ne plus croire avec autant de ferveur ? Bien sûr que non. Moi-même, je m’interrogeais, tout en continuant mon errance, profitant de la tranquillité de cette Amérique profonde pour réfléchir. Aussi chaque jour je m’aventurai sur de nouvelles routes. Traversais de nouveaux villages, m’arrêtant souvent le soir à la nuit tombé à la bordure d’un champ ou d’un cour d’eau. Alors je tirais une lucky strike de son paquet et la glissant à mes lèvres, admirait le ciel sur le plateau arrière. Je n’étais pas pressé, je prenais le temps, je prenais mon temps. Et retardais mon retour auprès de mes frères. Cela m’avait pris quelques années pour arriver et atteindre l’endroit ou ils avaient élu domicile. Je m’étais perdu en chemin, ou peut-être avais-je tout simplement fait le point. Je ne souhaitais plus me battre, ni combattre. Seulement aider, porter mon prochain. J'ai commencé à côtoyer des groupes, pour discuter, échanger, réconforter. Chasser le désespoir, dissiper les idées noires. C'est ainsi que je porte désormais le poids de mon office.

Croyez en moi, car je crois en vous.



Derrière l'écran
• Un surnom ? : Art'

• Vous certifiez avoir plus de 18 ans : Je le certifie.

• Comment avez-vous connu Divine ? : J'ai vu de la lumière.

• Un commentaire ? : Les anges, c'est bien.

Emme

Aaron Brady
Aaron Brady
1 Star Angels
Nom céleste : Geriel
Tutelle : Ange de la patience
Nationalité : Américaine
Âge apparent : 42 ans
Âge réel : Originel
Profession : Animateur radio
Lieu de résidence : Augusta, enfin à côté.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel
Humeur : Excellente
  
Mar 28 Avr 2020 - 23:22
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Invité

Re Bienvenue avec cet ange de l'espérance ^^ Hâte de lire la suite, courage à toi !
Invité
avatar
  
Mer 29 Avr 2020 - 10:34
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Invité

Bienvenue à toi et bon courage pour l'écriture de ta fiche ! Aaron Brady 956272377
Invité
avatar
  
Mer 29 Avr 2020 - 10:36
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Lucifer

Quand je vois Tom, j'ai plutôt tendance à penser à l'ange de l'éparpillement façon puzzle. Alors bienvenue de nouveau à toi et merci de contribuer à équilibrer les forces du Bien et les forces du Mal ! Divine est vraiment entré dans une nouvelle ère où anges et démons font jeu égal, c'est vraiment super ! Wink
Lucifer
Lucifer
Admins
Tutelle : Démon de la séduction
Âge : Né lors de la création du Paradis
Lieu de résidence : L'Enfer
  
Mer 29 Avr 2020 - 12:23
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Emma Reynolds

Coucou bel ange

Re bienvenue parmi nous avec cette nouvelle tête.

cheers
Emma Reynolds
Emma Reynolds
Résidents
Nationalité : Américaine
Âge : 23 ans
Profession : Architecte
Lieu de résidence : Augusta
Orientation sexuelle : Hétéro ouverte et curieuse
  
Mer 29 Avr 2020 - 14:28
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Invité

Salut Aaron, pareil que moi, j'ai vu de la lumière ! Bon courage pour ta fiche ! Je te prierai pour l'arrivée de ma démone ! Wink
Invité
avatar
  
Mer 29 Avr 2020 - 15:05
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Invité

Bienvenue l'angelot, faudra qu'on se fasse un KFC un de ces quatre. Bon courage pour ta fiche et laisse ton symbiote à la maison ou je fais un Carnage !
Invité
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Ven 1 Mai 2020 - 14:46
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Invité

Rebienvenue mon frère Aaron Brady 904504050

Certains démons croient pouvoir avoir le dessus sur toi.  On part en chasse quand tu veux. Un petit combat ne peut pas faire de mal, surtout si plusieurs têtes démoniaques tombent n'est ce pas?  Aaron Brady 1703614685
Invité
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Ven 1 Mai 2020 - 15:56
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Aaron Brady

Merci beaucoup à tous !
Le KFC c'est quand tu veux.
Aaron Brady
Aaron Brady
1 Star Angels
Nom céleste : Geriel
Tutelle : Ange de la patience
Nationalité : Américaine
Âge apparent : 42 ans
Âge réel : Originel
Profession : Animateur radio
Lieu de résidence : Augusta, enfin à côté.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel
Humeur : Excellente
  
Ven 1 Mai 2020 - 16:08
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Lucifer

Je te laisse une semaine pour nous annoncer que tu te lances dans l'écriture d'un roman. Je blague pas. Si dans une semaine, tu t'y es pas mis, je bloque tous tes comptes ici.
Lucifer
Lucifer
Admins
Tutelle : Démon de la séduction
Âge : Né lors de la création du Paradis
Lieu de résidence : L'Enfer
  
Ven 1 Mai 2020 - 20:10
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Tessa Spencer

Re bienvenue.
Tessa Spencer
Tessa Spencer
Résidents
Nom infernal : Bonne femme
Nom céleste : Fée C. (bah quoi, C comme céleste)
Tutelle : Résidente.
Nationalité : Americaine
Âge : 35 ans
Âge apparent : 30 ans moins les rides
Âge réel : 35 mais ça se voit pas avec la crème anti-âge
Profession : Garde-forestier
Lieu de résidence : Sabbatus
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle
Disciple de : Sam Wilde
Humeur : Humaine
  
Ven 1 Mai 2020 - 21:01
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Aaron Brady

Je crois que ce sera plutôt une semaine pour faire les modifications. Wink
J'essaie de faire au plus vite.
Aaron Brady
Aaron Brady
1 Star Angels
Nom céleste : Geriel
Tutelle : Ange de la patience
Nationalité : Américaine
Âge apparent : 42 ans
Âge réel : Originel
Profession : Animateur radio
Lieu de résidence : Augusta, enfin à côté.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel
Humeur : Excellente
  
Ven 1 Mai 2020 - 21:25
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Débora

Aaron,

Je te remercie infiniment pour le changement de tutelle que tu as accepté de faire car aussi bien Lulu que moi avions oublié que Tessa avait fait le scenario de l'ange de l'espérance Shocked . Merci d'ailleurs à elle de me l'avoir signalé. Aaron Brady 3174495743  (Preuve que nous ne sommes rien sans vous, chers Diviniens). Aaron Brady 706987367

J'ai donc le plaisir de re-déplacer ta fiche là où elle se doit d'être, les fiches validées.  cheers

Et oui, vraiment, comme le disait Lulu plus haut, tu devrais songer à te lancer dans une carrière littéraire geek . J'ai la chance de te lire bien souvent et je suis plus que d'accord.  Aaron Brady 453385533

Amuse-toi bien avec ce nouveau personnage !

Aaron Brady 956272377
Débora
Débora
Admins
Tutelle : Prophétesse,
Profession : Surveillante Générale
  
Sam 2 Mai 2020 - 10:08
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